Le gagnant !

Alors, voilà, comme on a dit, il y a eu une majorité de votes, c'est à VOUS de choisir qui gagnera. Les votes seront anonymes. Il vous reste que quelques jours ! Vous n'avez le droit qu'à un vote qui sera définitif.

Alors, participants 1 :
Mimi3444 qui a fait cette poésie.

La pie,
Je pense toujours a cette pie,
Se sont mes pensées qu'elle remplie.
Toujours aussi bavarde,
Et joueuse avec ses camardes.

Je l'observe depuis longtemps,
Elle aussi en fait autant.
Je la regarde ou qu'elle soit,
Et elle me reçoit.

Elle aime bien manger des vers
Et aussi voler dans les airs.
Quand je la vois voler,
Je me vois la retrouver.

Et nous volerons,
Sans frissons.
Puis il est temps de la quitter,
Je lui dit adieu avant de retourner a mes pensées.

Participant 2 :
Planette
Libre comme l'air.

Déployant ses ailes de coton, l'oiseau décolle
Il traverse la forêt, frôle la cime des arbres
Pour atteindre le ciel, pour toucher les nuages en vol
Bercé dans la voute couleur de marbre

Son regard d'un bleu foudroyant
Transperce aisément la brume
À la recherche d'un soleil éclatant
En chemin il perdra quelques plumes.

Elle le regarde passer à travers sa fenêtre,
Quelques regrets lui laissent au bout de la langue un gout amer
Ses yeux s'embuent et en elle s'installe un mal être,
Qu'elle aimerait, elle aussi, être libre comme l'air !

Participant 3
Gromendil

Le canard,

Les roseaux, véritables fouet,
Que les bourrasques forcent à tyranniser
Ces pauvres oiseaux qui finiront en exil
Pour cause de jouer avec le péril .

Injuste fortune qui ne leur donna guère
Qu'un bec de la carrure d'un lime
Et des pattes pour fuir les abîmes
Qui me permettent d'écrire ces vers.

Pourquoi faut-il que les cygnes,
Oiseaux charismatique et voluptueux,
Vienne narguer ces pauvres gueux
Qui ne peuvent bouger qu'en ligne.

Ainsi, dame nature, toi qui les as fait être
Les gens te remercient en te louant
Tu ne parrais pas connaitre,
Les douleurs de tes enfants .

Participants 4
Ellen

Les oubliés

Dans ce lugubre endroit
Obscur, sans compassion, froid
S'élèvent des croassements
Qui ne sont pas très accueillants.

De leurs yeux perçants ils surveillent
Le cimetière qui est désert
Et lorsque les rares gens visitent leur mère
Ils croassent de plus belle.

Reposant sur les arbres morts,
Ils se languissent hiver comme été.
Les seules personnes à les entendre pleurer sur leur sort
Sont les esprits de ce cimetière, les oubliés.

Vous avez le droit de voter pour vous même car je ne peux pas empêcher de votes.

Raaah j'arrive pas à choisir >_<

Aller, aller, décide toi ! ^^

A voté

A voté

C'est serré

On a déjà la gagnante ^^
ça se finit quand les votes ?

Je ne sais pas encore.

UP ! ! Le gagnant aurra sa poésie affiché sur le portail en plus d'être sur le journal !

Salut tout le monde !
Le concour est finit, Ellen est la grande gagnante, mais Planette ne menait pas de loin !
Ellen, tu aurras ta poésie dans le journal, et affiché sur le portail pendant plusieurs mois.
Bonne journée.